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  • hoe stom het derhalve
    overkomt

    geen twijfel want
    van de zot kan

    men een zot  maken
    hem zonodig nog
    zotter te maken

    stel
    door plots zijn huur
    te verhogen
    van 60%

    hem aan de deur
    zetten
    op zijn werk

    zijn vrouw
    afpakken
    en zijn kinderen
    laten verkrachten
    door de
    pastoor

    zijn er
    dan instellingen
    met hoge muren
    en even hoge huren
    met prikkeldraad
    eromheen
    die zorgen voor
    die zotten met moffen

    maar leven ze
    nu als rijken
    in de natuur

    alleen
    is er
    een bijkomend
    probleem met die
    maffia
    want ook de natuur
    nu is duur
    want privé verklaard
    net zoals
    de aarde en hun
    bikinibroekjes
    in de kast

    zonder
    last van
    dansen met natte
    kladders na het
    kammen van zand
    met haar koude
    handen en dan
    weer zuchten
    want dus ook
    voorbij


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  • Non, ce ne sont pas les brouillons de Nabokov sur les obsessions de son époque, ni les pléiades d'une nouvelle espèce verbale ; mais le temps qui pèse parfois une tonne, parfois comme une plume dans le vent en une symphonie pour aveugles. Que peut bien vouloir dire alors 'Pouvoir' sous Stravinsky et Beethoven, loin de Gainsbar et Dionysos, dans un murmure de nature sans meurtre du père, où rien est symmétrique, mais vaseux, d'une littérature avortée puisque ni Gallimard ni Gallipart, mais sous esprit absent. La fin de l'avant garde alors, puisque c'est comme CNN et le festival de Cannes: si vous n'y êtes pas, vous n'existez pas. Mais seriez encore plus manipulé face à l'oppressant que n'importe qui d'autre dans cette vie difficile. Mais oui, que peut bien vouloir dire alors 'Pouvoir', ayant nous quelques notions succinctes de gesticulation d'argent chez certain(e)s, de médias (anti-communistes) et puis la vie au quotidien. Certes il y va donc d'orchestrations, de scénarios indélébiles pour susciter une attention, un suivisme béat pour ceux qui doivent se soumettre et fonctionner. Régulièrement on vous fait part dans ces médias de 'fous' qui se mettent à tirer pour questions de voisinages et de violonistes. Après une dure semaine de fatigue on constate la fin des vacances de Pâques aux dizaines de sirènes américaines qui se sont remises à fonctionner dans les quartiers de Bruxelles, tout comme dans toutes ces cités vouées à l'Occidentale. On vous montre alors des êtres qui ont le pouvoir de visibilité à la télé. Ils ont comme valets des journalistes, des artistes et des putes. On vous montre même un pape tout puissant envers un roi et une reine. Je suis pour une aristocratie de l'esprit, une noblesse du coeur, d'ouvriers... mais suis contre une aristocratie du ringard, profiteur et conformiste. Puisque eux doivent cautionner un stéréotype historique et tout le fric, la perversion et pouvoir là derrière. Si mon grand-père ne mettait pas ses enfants dans l'enseignement catholique il n'avait pas de boulot. Qu'est-ce qui a changé? Ah oui, le pouvoir des socialistes. Faites l'analyse des logements sociaux (Foyer Bruxellois) aux Marolles et les pauvres gens vivent depuis des années dans un enfer psychologique : sirènes américaines stridentes, bruits dans la tuyauterie des chambres (la nuit) et claquements de la lourde porte de l'entrée. Et qu'est-ce qui change avec Service Technique et hiérarchie dite de gauche? Rien, depuis des années. Cencernant la presse (alternative?) c'est encore pire, malgré information de naïveté politique de Einstein dans 'Le Monde'. "Cela dit, j'ai montré vos textes à notre rédaction et l'avis, unanimes, est qu'ils sont intéressants par leur qualité et leur message toujours contestataire. Mais il nous a paru, aussi d'une manière unanime, qu'ils ne sont pas publiables dans leur état pour un journal comme le notre, parce qu'ils ne sont pas conçus comme des articles journalistiques." (Vladimir Caller, rédacteur en chef du 'Drapeau Rouge'). Les mêmes (tout comme le défunt Ernest Glinne) doivent se positionner contre licenciements (arbitraires) en entreprises. S'agissait-il pas d'un 'autre' journalisme, plus 'original' et moins moutonnerie, pour solutionner la crise de la presse? Si pas de pape vous savez bien entendu zapper le week-end sur Michel Drucker. Dans son livre il relate le mauvais caractère de certain(e)s en coulisse. Mais imaginez donc son public : monsieur et madame tout le monde. Aussi bien le drogué, la femme de ménage ou le professeur catholique belge. Le jour où son 'patron', Frédéric Mitterand, fut invité il s'agissait d'hommes blessés quand Jean Genet léchait les murs. Nous avions presque oublié comment orchester la vente d'un livre, nous les petits Belges. Mais voilà, ici les gens n'achètent pas de (bons) livres, et dans toute cette dynamique de relations publiques littéraires sous scénarios bien établis à l'avance pourquoi pas nous? Frédéric Mitterand nous rappelle les bourgades du raffinement aristocratique à cette télé par ce qui a fait la vraie France "actuelle" après Voltaire: Brigitte Bardot, Gabin, Piaf, Gainsbourg, Godard, Alain Resnais, etc. etc.. Grande culture révolutionnaire un peu plus libre ou flexible que les petits belges donc, eux sous dogmatisme et misérabilisme moyenâgeux. Allons donc!      

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