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Par pitteman-art le 25 Avril 2010 à 19:41
hoe stom het derhalve
overkomt
geen twijfel want
van de zot kan
men een zot maken
hem zonodig nog
zotter te maken
stel
door plots zijn huur
te verhogen
van 60%
hem aan de deur
zetten
op zijn werk
zijn vrouw
afpakken
en zijn kinderen
laten verkrachten
door de
pastoor
zijn er
dan instellingen
met hoge muren
en even hoge huren
met prikkeldraad
eromheen
die zorgen voor
die zotten met moffen
maar leven ze
nu als rijken
in de natuur
alleen
is er
een bijkomend
probleem met die
maffia
want ook de natuur
nu is duur
want privé verklaard
net zoals
de aarde en hun
bikinibroekjes
in de kast
zonder
last van
dansen met natte
kladders na het
kammen van zand
met haar koude
handen en dan
weer zuchten
want dus ook
voorbij
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Par pitteman-art le 22 Avril 2010 à 10:00Non, ce ne sont pas les brouillons de Nabokov sur les obsessions de son époque, ni les pléiades d'une nouvelle espèce verbale ; mais le temps qui pèse parfois une tonne, parfois comme une plume dans le vent en une symphonie pour aveugles. Que peut bien vouloir dire alors 'Pouvoir' sous Stravinsky et Beethoven, loin de Gainsbar et Dionysos, dans un murmure de nature sans meurtre du père, où rien est symmétrique, mais vaseux, d'une littérature avortée puisque ni Gallimard ni Gallipart, mais sous esprit absent. La fin de l'avant garde alors, puisque c'est comme CNN et le festival de Cannes: si vous n'y êtes pas, vous n'existez pas. Mais seriez encore plus manipulé face à l'oppressant que n'importe qui d'autre dans cette vie difficile. Mais oui, que peut bien vouloir dire alors 'Pouvoir', ayant nous quelques notions succinctes de gesticulation d'argent chez certain(e)s, de médias (anti-communistes) et puis la vie au quotidien. Certes il y va donc d'orchestrations, de scénarios indélébiles pour susciter une attention, un suivisme béat pour ceux qui doivent se soumettre et fonctionner. Régulièrement on vous fait part dans ces médias de 'fous' qui se mettent à tirer pour questions de voisinages et de violonistes. Après une dure semaine de fatigue on constate la fin des vacances de Pâques aux dizaines de sirènes américaines qui se sont remises à fonctionner dans les quartiers de Bruxelles, tout comme dans toutes ces cités vouées à l'Occidentale. On vous montre alors des êtres qui ont le pouvoir de visibilité à la télé. Ils ont comme valets des journalistes, des artistes et des putes. On vous montre même un pape tout puissant envers un roi et une reine. Je suis pour une aristocratie de l'esprit, une noblesse du coeur, d'ouvriers... mais suis contre une aristocratie du ringard, profiteur et conformiste. Puisque eux doivent cautionner un stéréotype historique et tout le fric, la perversion et pouvoir là derrière. Si mon grand-père ne mettait pas ses enfants dans l'enseignement catholique il n'avait pas de boulot. Qu'est-ce qui a changé? Ah oui, le pouvoir des socialistes. Faites l'analyse des logements sociaux (Foyer Bruxellois) aux Marolles et les pauvres gens vivent depuis des années dans un enfer psychologique : sirènes américaines stridentes, bruits dans la tuyauterie des chambres (la nuit) et claquements de la lourde porte de l'entrée. Et qu'est-ce qui change avec Service Technique et hiérarchie dite de gauche? Rien, depuis des années. Cencernant la presse (alternative?) c'est encore pire, malgré information de naïveté politique de Einstein dans 'Le Monde'. "Cela dit, j'ai montré vos textes à notre rédaction et l'avis, unanimes, est qu'ils sont intéressants par leur qualité et leur message toujours contestataire. Mais il nous a paru, aussi d'une manière unanime, qu'ils ne sont pas publiables dans leur état pour un journal comme le notre, parce qu'ils ne sont pas conçus comme des articles journalistiques." (Vladimir Caller, rédacteur en chef du 'Drapeau Rouge'). Les mêmes (tout comme le défunt Ernest Glinne) doivent se positionner contre licenciements (arbitraires) en entreprises. S'agissait-il pas d'un 'autre' journalisme, plus 'original' et moins moutonnerie, pour solutionner la crise de la presse? Si pas de pape vous savez bien entendu zapper le week-end sur Michel Drucker. Dans son livre il relate le mauvais caractère de certain(e)s en coulisse. Mais imaginez donc son public : monsieur et madame tout le monde. Aussi bien le drogué, la femme de ménage ou le professeur catholique belge. Le jour où son 'patron', Frédéric Mitterand, fut invité il s'agissait d'hommes blessés quand Jean Genet léchait les murs. Nous avions presque oublié comment orchester la vente d'un livre, nous les petits Belges. Mais voilà, ici les gens n'achètent pas de (bons) livres, et dans toute cette dynamique de relations publiques littéraires sous scénarios bien établis à l'avance pourquoi pas nous? Frédéric Mitterand nous rappelle les bourgades du raffinement aristocratique à cette télé par ce qui a fait la vraie France "actuelle" après Voltaire: Brigitte Bardot, Gabin, Piaf, Gainsbourg, Godard, Alain Resnais, etc. etc.. Grande culture révolutionnaire un peu plus libre ou flexible que les petits belges donc, eux sous dogmatisme et misérabilisme moyenâgeux. Allons donc!
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Par pitteman-art le 20 Avril 2010 à 19:05
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